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  • Retours de vacances

    Me voici de retours de vacances.
    La destination choisie pour cette fois était la Bourgogne, avec un périple qui nous a menés de Cluny à Vezelay, via Chalon, Beaune et Dijon. Une cure de verdure, où les Charolaises paissant tranquillement dans les prés alternent avec les vignobles et les forets.
    Beaucoup de belles choses à voir (des châteaux et des églises en veux-tu-en-voilà, de jolies villes, des micro-villages,..), à manger (ah! les cuisses de grenouille, le coq au vin et l'incontournable boeuf bourguignon !), et, évidement, à boire (il aurait été dommage de ne pas s'inviter à quelques dégustations en passant dans des villages aux noms tels que Pommard, Mercurey, Meursauly ou Vosne Romanée pour ne citer que ceux là). J'avais de cette régions quelques jolis souvenirs, du coté de Saint Sauveur en Puisaye notamment, j'ai été heureuse de les réactiver à l'occasion de ce nouveau séjour.
    Pour finir, nous avons fait un step à Lyon, histoire de renouer avec la vie citadine. Juste un survol, de quoi constater que la gastronomie lyonnaise est à peu près aussi légère que la déco intérieure de la basilique de Fourvière, mais surtout de quoi nous donner envie d'y revenir à l'occasion d'un long week-end (pourquoi pas à l'occasion de la fête des lumières cet hivers ?)

    A l'occasion de ce retours, je signale la naissance d'un nouveau blog, où vous pourrez trouver les photos prises au fil du voyage : http://mes-peregrinations.blogspot.com/
    Il faudra un peu de patience avant que toutes les photos soient postées, mais je m'y mets dès aujourd'hui !

  • La tranquilité de la campagne n'est plus ce qu'elle était...

    Samedi dernier, nous avions envie passer un week-end bucolique, avec déjeuner en terrasse, barbecue et vue sur la pinède. Nous investissons donc le studio de monsieur, délaissé il faut le dire pour 90% du temps au profit de mon chez-moi citadin.
    Le studio en question se trouve dans une énorme maison perdue dans la campagne aixoise, il est flanqué de 2 studios identiques dont celui de gauche était, à notre dernière visite, inoccupé, et celui de droite, habité par un jeune couple d’ordinaire assez discret.
    Sauf … Sauf que dans l’intervalle, ce studio vide a été loué à une demoiselle (qui s’avère, accessoirement, être l’employée de maison de la propriétaire.)
    Sauf que ladite demoiselle a eu l’idée d’organiser une soirée entre amis précisément ce samedi là, de ces soirées un peu spéciale dont le nom populaire commence par « par » et finit par «touze ».
    Et nous voilà donc condamnés à subir les « schtoing schtoing » du matelas, les bruits divers et variés type claques, ahanements, exclamations d’allégresse des participantes peu avares en décibels, commentaires salaces des participants version accent marseillais bien gras, et ce plusieurs heures durant ( voilà l’intérêt d’être nombreux : on peut se relayer pour faire c*** ses voisins plus longtemps…) Le tout bien sur en gardant toutes les fenêtres ouvertes, dès fois que les murs ne soient pas assez fins, et que nous ne soyons pas au courrant de l’intégralité de la séance (c’est vrai, quoi, notre culture générale aurait pu en pâtir).
    Après quoi, ce petit monde s’est retrouvé sur la terrasse en conférence pour débriefer longuement de leurs exploits avec cette même discrétion et distinction que nous venions de leur découvrir. En effet, il aurait été dommage, vu de degré d’intimité désormais acquis, que nous ne puissions bénéficier aussi de leurs évaluations (et auto-évaluations) de la soirée et des différents membres.
    Partageurs jusqu’au bout, ils ont tenu à nous rassurer sur leur sérieux en matière de prophylaxie en déposant leurs capotes usagées sur le sol de notre terrasse.
    Nous aurions bien aimé les leur rendre, mais, évidement, les volets se sont fermés au petit matin et le sont restés toute la journée ensuite : gageons qu'ils avaient besoin de récupérer après toute cette gymnastique...

  • Malbouffe nostalgia

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    L’Oncle Sam a fermé ses portes : scandale ! Où, sur Aix, va ton pouvoir désormais déguster des glaces Ben & Jerry et des pan cake au sirop d’érable ? Certes ce ne sont pas les glaciers qui manquent, il doit bien y en avoir 4 rien que sur le cours Mirabeau, mais aucun qui ne propose les amusants et savoureux parfums de Ben & Jerry. Loin de moi l’idée de faire un panégyrique de la gastronomie (ou de la junk food) américaine, mais cette marque de glace,je l'aime bien et j’y étais attachée par un peu de nostalgie me rappelant mon séjour outre Atlantique. Avec une mention spéciale pour la Cherry Garcia ( variante fort intéressante de la cerise amarena) et la Fossile Fuel (avec ses petits dinosaures en chocolat noir).

    J’ai remarqué à ce sujet que le petit supermarché de mon quartier s’était enrichi de quelques rayons à vocation internationale : spécialités italiennes, méditerranéennes, et, depuis quelques temps, gourmandises made in USA : biscuits Oreo, mélasse Aunt Jemima , coockies Peperrigde Farm, chocolat Hershey's. Rien de très consommable si mon souvenir en est exact : les biscuits sont en simili chocolat fourrés d’une pâte blanche qui ressemble à du dentifrice, la mélasse est un sirop qui a sans doute vocation a remplacer le sirop d’érable de manière moins onéreuse.

    J’attends avec impatience l’arrivée des Bush Beans, des tétra-packs d’œuf pré battus et des sodas à la salsepareille pour compléter ce petit musée des horreurs alimentaires.

    A contrario, je militerais volontiers pour l’arrivée des bagles, du jus de cranberries et, surtout, pour l’installation d’un Starbucks Coffée sur Aix en Provence !!