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Roma caput mundi*

Tous les chemins y mènent, parait-il : ce fut en tout cas notre destination de cette année pour le printemps. Rome ! J’avais un très vague souvenir de cette ville, visitée gamine avec mes parents, et pas forcément un très bon : à vrai dire il me restait peu d’éléments en mémoire à part la circulation, les forêts d’antenne TV, le baldaquin de marbre du maître autel de la basilique st Pierre et les quartiers de noix de coco vendus dans la rue. Coté baldaquin, noix de coco et circulation, les choses n’ont guère changé, par contre au rayon des nuisances « modernes », on peut ajouter les vendeurs ambulants de rose, carrément envahissants et la prolifération des perches à selfie au bout duquel on trouve toujours, soit un vendeur ambulant, soit un touriste en mode tartinage d’ego. Horripilant. Mais mis à part ça, Rome ne manque pas de charme et nous en avons pris plein les mirettes et les papilles : 7 églises, 1 musée, 3 sites antiques, une moyenne de 13 kms à pieds par jour, 1 cimetière, des places et des fontaines, des curés et des bonnes soeurs ; et pour les nourritures terrestres, des pâtes et des panini porchetta, des focaccia et des cassatine, des gelati et des carciofi,… Que du bon !

Quelques inquiétudes néanmoins avant le départ, entre l’incendie du terminal 3 à Fiumicino, et ma carte d’identité qui arrivait à échéance –prolongée de 5 ans par une nouvelle loi mais sans garantie qu’elle soit acceptée à l’aéroport. Mais au final tout s’est très bien passé, avec le seul défaut de genre de destinations : ce petit sentiment de frustration de laisser derrière soi plus d’endroits remarquables que ce qu’on a pu en visiter.

 

*oui, à l’heure ou l’enseignement des langues anciennes est remis en question, je m’offre mon petit acte militant et me fais plaisir avec un titre de post en latin !

 

 

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