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  • Boston, J-4 jours ( ou "sncf : c'est possible !" )

    Je réserve ce matin mon billet de train pour mon retours, le  dimanche 30 avril . Chouette initiative, la SNCF propose des billets à 20 euros :  "prem's à prix givrés" , ils appellent ça. Il faut croire que les prem's n'étaient pas seuls à l'etre car la machine me propose royalement, en lieu et place du billet pour le 30 avril, un billet pour le ... 32 janvier 2006 ! J'ignorais que la SNCF avait fait alliance avec le fantome de Lewis Caroll, mais après tout, leur slogan ne promet - il pas  de nous conduire "plus loin que vous ne l'imaginez"  ?

  • Joyeux Anniversaire

    Aujourd’hui, c’est le 250e anniversaire de la naissance de Mozart, la radio me le

    rappelle des que je l’allume et même Google s’est déguisé pour l’occasion.

    Coïncidence fâcheuse, les intempéries m’ont empêchée de me rendre à ma répétition de chœur, nous aurions, je pense,  fêté ça dignement : après tout ne nous appelons nous pas « Chœur Amadeus » ?!

    Il est dommage que Mozart devienne comme une sorte de poncif…. La Flûte Enchantée a été mon premier opéra ( sur disque, un vinyle que j’écoutais gamine chez mes parents), et, plus tard, j’ai toujours eu beaucoup de plaisir à chanter ses œuvres.

     

     Je me souviens de Kundera qui écrit  quelque part dans l’Insoutenable Légèreté de l’Etre «  au temps de JS Bach, la musique était comme une rose éclose sur la neige du silence » : sans savoir pourquoi j’avais toujours associé à la musique de Mozart l’image d’une rose,  avant même de lire ce roman. 

     

    Je me souviens aussi d’avoir été à Salzbourg l’été 1991, autre anniversaire mozartien.

    A l’instar de Bernadette à Lourdes, Wolfgang constitue à Salzbourg un fond de commerce indéniable, avec tout le folklore qui va avec : de la liqueur Amadeus, aux Mozartkugeln (improbables friandises faites de chocolat et de pâte d’amande), le pauvre est mis à toutes les sauces ( de préférences, celles qui sont lucratives). 

    Néanmoins, la musique était omniprésente : impossible d’entrer dans une église sans trouver une chorale rassemblée pour chanter ( ah, le baroque autrichien, les moulures blanches sur les murs aux couleurs pastel …) , et j’ai eu la grande chance d’assister aux répétitions du ténor Placido Domingo, qui donnait un récital le soir même.

     

    Je ne chantais pas encore à cette époque, mais je ne doute pas que ces notes et ces souvenirs se soient nichés quelque part dans mon cerveau, pour me pousser à m’inscrire dans une certaine petite chorale de quartier quelques années plus tard…

  • Sit-com

    Hier soir, j'ai vécu une expérience limite... la copine chez qui j'étais invitée a tenu à me faire regarder le feuilleton "Plus belle la vie"...